« L’Aire coquine de Miss S » by Sév la Soumise

Sur l’autoroute, en partance pour le sud de la France, mon mâle s’est arrêté sur une aire de repos pour faire le plein d’essence et m’exhiber.
Il m’avait, au préalable, donné pour directives de voyager cul nu sous une jupette, en bas et bottines avec un haut transparent en résille et une petite veste noire.
En bonne chienne soumise, je portais également un collier et un plug, bien placé au chaud, au centre de mon intimité.


Arrivés à la station essence, mon mâle m’ordonna d’aller faire le plein. J’obéis et commençais à remplir le réservoir quand une voiture s’arrêta à la pompe juste derrière nous. Lorsqu’il m’aperçu, le conducteur sembla troublé et eu beaucoup de mal à faire le plein de son véhicule. Bien penchée sur le pistolet du carburant, je ne cachais rien de mes orifices et de mes tétons bien dressés.
Consciente d’être matée avec envie comme une bonne pute, je me sentais à la fois gênée et fière, sans vouloir tenter de me dérober à la va-vite, car j’aime bien m’exhiber, obéir et rendre fier mon mâle.
Le plein effectué, sur l’ordre de mon Mâle, je me dirigeais vers la boutique de la station pour aller payer, et ainsi poursuivre mon exhibition.

Je rôdais donc, en prenant soin de bien onduler de la croupe,  dans la station.
Mon Mâle me fit signe de me diriger vers les toilettes, puis m’ordonna d’entrer chez les hommes, de  m’appuyer contre le mur, de relever ma jupette et de prendre des poses suggestives et incitatrices, en m’exhibant lascivement.
Il y avait trois hommes aux urinoirs, un au lavabo, et je suppose quelques autres dans les WC.
L’homme au lavabo, me reluquait avec insistance par le truchement du miroir. 
Une fois ses mains séchées, il se retourna et d’un pas déterminé se dirigea vers moi. Il m’empoigna brusquement par le cou, et m’entraîna dans un des WC.


A peine entré, il me mit à genoux, sortit son sexe, gros et épais, qu’il me fourra dans la bouche, tandis que me tenant par les cheveux, il fit coulisser ma bouche de plus en plus rapidement sur sa queue.
Je bavais abondamment sur cette queue devenue énorme, lorsqu’il me releva, me gifla, me retourna, me pris par les cheveux pour mieux me cambrer, avant de me fourrer sa queue en levrette.
Sous ses coups de reins puissants, je pris appuie contre la porte, qui, à ma grande surprise, s’ouvrit.


Me voyant ainsi offerte, un autre homme s’approcha, et m’enfonça sa queue déjà bien raide dans la bouche.
Il l’enfonça si profondément, que le visage écrasé sur son torse, je sentis sa queue me pénétrer la gorge, tandis que le premier continuait à me défoncer la chatte, avec puissance et rythme.
En bonne Salope, je mouillais abondamment, et j’aimais sentir coulisser ces deux bonnes queues en moi.
Les deux gaillards me baisaient sans répits, et je sentais l’orgasme monter en moi.
Puis, ils échangèrent quelques mots, avant de me relever brusquement, et de me tirer par la main à l’extérieur des toilettes.


N’ayant pas eu même le temps de me rhabiller un peu, je me retrouvais à traverser la station entre ces deux hommes, qui me tenaient fermement chacun par une main.
Le corps exposé aux yeux de tous les clients, je traversais ainsi le hall de la station, avant de me retrouver sur le parking.
Là, un des hommes retira ma veste, offrant ainsi mes seins à la vue de tous, et me tenant par la taille, telle sa compagne, il prit le chemin du parking des routiers.
L’autre suivait juste derrière, en remontant ma jupe pour découvrir et caresser mon cul.
Passant entre les camions, les deux gaillards prenaient plaisir à m’exhiber fièrement, tel leur trophée de chasse.
Au milieu du parking, un groupe de camionneurs discutaient autour d’un verre.
Ils m’y dirigèrent, et bientôt je me retrouvais au milieu d’eux, collée entre mes deux bodyguards.
Leurs mains se faisaient de plus en plus inquisitrices, et très vite je me retrouvais nue, offerte à la vue de tous ces mâles excités.


Mise à genoux avec autorité,  une queue fût introduite dans ma bouche, tandis que j’étais désormais encerclée par tous les camionneurs, qui, queues à la main, attendaient que je les suce. Ce que je fis avec application et gourmandise.
Une fois toutes les queues bien dures, on me releva, me caressa sur tout le corps, on me fouilla, avant de me plaquer fermement contre un camion. Là jambes écartées, cambrée, chatte ouverte, ils se mirent à me fourrer à tour de rôle, me faisant abondamment mouiller.
Pendant qu’ils me baisaient activement, un des hommes posa son pouce humide sur mon œillet, qui tout de suite s’ouvrit, l’invitant à me dilater plus profondément.
Mes deux orifices étaient à leur merci, et ils ne se privèrent pas de les honorer sans répits.


Mon Mâle regardait la scène, et me fit comprendre de me laisser totalement aller, de leur appartenir sans réserve, et de jouir sans retenue, ce que je fis autant de la chatte que du cul, comme une bonne Salope. Après avoir vidé toutes ces queues qui couronnèrent mon corps, j’ai remercié tous ces hommes, et suis retournée vers mon mâle, repus de jouissance, leur jus dégoulinant de mes seins et de la raie de mon cul.
Par jeu, il me fit retraverser la station. Je ne sais pas si les passants remarquèrent le foutre qui, s’échappant de mon sillon, coulait le long de mes jambes.


Arrivés à notre voiture, mon Mâle me gifla sèchement, souleva ma jupette, me cambra contre la portière et me baisa ardemment, me claquant le cul au rythme de ses pénétrations, avant de me retourner et de jouir dans ma bouche.
Voilà qui concluait cette première pause. Mais le voyage était encore long, et je me demandais, avec une certaine impatience, quelle surprise me réservait-il encore ?
Sév la Soumise & son Mentor JM

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