« Le vivre avec vous » la suite by S.

Vous l’attendez tous, alors voici la suite du récit qu’un inconnu prénommé S. m’envoie. Vous pouvez relire. « Le vivre avec vous… » by S.

J’ai hâte de lire le texto suivant…C’est à vous mystérieux S…..

Elle relit attentivement les instructions du second texto qu’il vient de lui adresser. Elle est encore secouée de petits spasmes de plaisirs et se surprend à serrer les cuisses pour en profiter encore un peu. Elle se dépêche de sortir de sa valise la tenue qu’il lui demande. Elle doit être prête à son arrivée. Elle se rappelle que lors de leurs premiers échanges, il lui avait précisé qu’il était en contact avec d’autres femmes mais souhaitait n’en retenir qu’une pour ses venues sur Paris. Elle veut être la plus désirable possible pour le rendre fier d’avoir jeté son dévolu sur Elle.

Quand elle enfile son harnais de corps noir qui valorise ses fesses et sa poitrine pulpeuse, elle ne peut s’empêcher de frissonner de désir. Elle enfile les cuissardes à talons hauts, pose sur le lit devant elle les accessoires demandés : un long foulard noir, une cravache et un bâillon…elle entre dans la peau de la femme qu’il veut voir : offerte et à la merci de ses envies.
De nouvelles instructions arrivent par texto :  » Tire les rideaux et tamise la lumière. Entrouvre la porte de la chambre et prend la position suivante : Face à la fenêtre, croise les mains et pose-les sur la tête. Regarde devant toi et quand tu entends frapper à la porte : ferme les yeux et ne parle que si je te le demande ». Elle s’exécute immédiatement et même si elle a déjà vécu des expériences similaires, l’excitation mêlée à une certaine appréhension est présente. Toc, Toc…elle ferme les yeux et cambre les reins pour être la plus désirable possible. La porte se referme et le silence s’installe.
Elle sent sa présence et devine qu’il profite de la vue de son cul cambré et offert mais il ne bouge pas. Le temps est comme suspendu, elle se demande combien de secondes ou plus elle va devoir (et pouvoir) rester immobile ainsi.

 » Tu as un cul magnifique…un cul avec lequel on a forcément envie de jouer… » dit-il. Cette phrase qui vient rompre le silence la surprend car elle donne l’impression de venir d’un téléphone comme tout à l’heure. C’est sa voix elle en est certaine mais elle se demande qui est entré : lui…une autre personne ou simplement est-ce une impression liée à la situation.

Il bouge et se rapproche, il lui bande les yeux avec le foulard en prenant soin de faire 2 fois le tour pour être certain qu’elle ne voit rien. Il lui pose le baillon. Sa présence très proche lui permet d’entendre son souffle. Une respiration qui traduit son trouble ou une certaine excitation. Elle n’a aucun doute et sent alors une vague de chaleur envahir son ventre. Elle comprend qu’elle lui plait et qu’il la désire. Elle meurt d’envie de se donner corps et âme à cet homme sans aucune retenue. Je suis une vraie salope se dit-elle.
La même voix lui dit : « Tourne-toi et ne bouge sous aucun prétexte ». Elle n’a pas le temps de s’interroger à nouveau sur la voix qu’il lui saisit les 2 tétons déjà durs. Progressivement il serre de plus en plus fort. La douleur devient source de plaisir, elle sent son sexe humide et se dit qu’elle va rapidement être prête pour toutes les audaces possibles mais il libère d’un seul coup ses tétons et ne bouge plus. Elle attend, haletante. Elle sent un léger filet de bave couler sur son menton : elle est bien consciente qu’elle est à sa disposition, indécente.

« Pose tes mains sur le lit, écarte un peu les jambes » elle en est certaine sa voix vient du téléphone et se demande qui est présent dans la chambre avec elle. Mais il ne lui laisse pas le temps de penser car elle entend la cravache fendre l’air juste avant qu’elle n’atteigne sa fesse droite…Elle sent immédiatement le picotement associé à la chaleur et se tient prête à s’offrir comme il le souhaite mais rien ne se passe.
Il ne bouge plus…les secondes s’égrènent, elle se demande ce qui va se passer quand elle reçoit un 2ème coup de cravache sur la même fesse…puis un 3ème, un 4ème….Il passe d’une fesse à l’autre…elle a chaud, elle sent le feu de la cravache de plus en plus présent…elle voudrait se mordre les lèvres pour ne pas crier mais seul un râle sort de sa bouche avec le baillon.

Sans un mot, avec la cravache il l’invite à se relever et reste dans son dos. Il se colle presque contre elle et prend en mains ses 2 seins. Très vite elle devine l’intention qu’il poursuit : travailler ses tétons car il les saisit entre son pouce et index. Il serre de plus en plus fort…excitée, elle se met à couler comme une vraie petite salope quand ses fesses frôlent son sexe dur.

Sous l’emprise du désir et sans réfléchir, elle se cambre un peu plus pour frotter son cul en feu sur ce sexe tendu. « Remets-toi en position, pose tes mains sur le lit ».  Une main chaude se pose sur ses fesses et très vite vient fouiller son sexe humide. Elle est au bord de l’orgasme quand il lui dit « Ne jouis pas » et retire les doigts de son sexe. Elle a très envie d’être de jouir là, maintenant avec lui ou l’inconnu présent mais elle comprend que ce n’est pas son souhait.

Elle est reconnaissante de la main chaude qui flatte son cul avec douceur pour l’aider à se calmer un peu. Elle se dit aussi que la séance n’est surement pas terminée quand elle reçoit la première claque sur les fesses. Une claque sèche et puissante qui brûle profondément sa chair immédiatement…elle tente de retenir un nouveau râle sans succès. « On atteint déjà ta limite ? » lui demande-t-il.
Ne pouvant répondre elle fait non de la tête. « Je préfère ça » répond-il. « Allonge toi sur le lit, écarte tes cuisses, gode toi et jouis ». Il glisse entre ses mains un gode. Elle est dans un tel état d’excitation que la première pénétration déclenche chez elle un premier orgasme. Impudique, elle caresse son clitoris tout en faisant des allers retours rapides avec le gode…elle est libérée, il lui a donné le droit de jouir. L’orgasme suivant est plus fort, plus intense surtout qu’il choisit ce moment pour tirer très fort sur ses tétons. Elle tente de parler pour lui dire que c’est bon d’être sa petite salope mais le bâillon rend ses propos incompressibles. Elle jouit, coule et bave de plaisir.


Elle redescend tout doucement quand il lui ordonne de retirer son bandeau. Elle s’attaque au nœud serré du foulard quand elle entend la porte de la chambre claquer. Le foulard tombe, elle est seule dans la chambre. Elle se demande qui était là mais très vite elle reçoit un texto : J’espère que le début de la soirée te plait. Suite du programme dans quelques minutes par texto.

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