Après nous avoir raconté, il y a quelques mois, sa découverte du Cap d’Agde « Comment j’ai découvert le Cap » by Blackcafe, mon ami Blackcafe prend la plume aujourd’hui pour nous compter sa découverte du candaulisme. C’est à toi S.
J’avais à peine 18 ans, en classe prépa maths-sup/spé à Nice. Je partageais un appartement en collocation avec deux autres lycéens. Quand je suis rentré à l’appartement un soir en début de soirée, je me suis rendu compte que mes clés étaient introuvables.
J’ai donc décidé d’aller faire un tour, en attendant que mes colocataires rentrent avant de pouvoir regagner l’appartement. J’ai repris le bus pour rejoindre le centre ville. Je déambulais dans les rues de Nice; place Massena, Av Jean Médecin et aux alentours..admirant les vitrines..m’arrêtant de temps en temps au feux tricolores.
Quand soudain… un bruit, devenu familier depuis quelques minutes, m’a alerté.
Je me suis retourné pour vérifier…Eh oui…Je ne me suis pas trompé ..c’est bien le bruit de claquement de chaussures à talons d’une femme.
Sans prêter plus d’attention, j’ai repris ma marche encore quelques mètres…les claquements sont toujours présents.. derrière moi ..parfois..ils ralentissent et parfois ils s’accélèrent au gré de mes déplacements.
Encore quelques mètres et je m’arrête aux feux, au passage piéton.
La femme me rejoint et se coule à mon côté.
– bonsoir, tu vas bien? Tu te promènes? Me demande t’elle avec un sourire carnassier..
– oui madame, répondis-je, un peu surpris
Un silence …mes yeux rivés sur les feux, comme pour éviter son regard expérimenté qui me scrute.
– tu vas où? Tu fais quoi? Enquêta-t-elle
Je raconte avec grande naïveté l’histoire de mes clés perdues et l’impossibilité de rentrer chez moi.
– je me promène en attendant, après je rentre, madame
Je la regardais bien en face cette fois-ci et avec plus d’assurance. Elle devait avoir dans les 30-40 ans ou peut-être plus , difficile à dire.
Un silence…elle se lance ..
– tu es sympa..tu es beau..tu as un moment ?
Le feu passe au vert, je traverse, elle me suit sur le trottoir d’en face.
Elle poursuit…
– Tu es lycéen ?
– Oui, madame
– Je suis prof, tu es dans quel lycée ?
Tu me plais, j’ai envie de faire l’amour avec toi!
J’ai répondu en lui donnant le nom de mon lycée.
Elle a l’air soulagée, sans que je sache pourquoi.
Après un instant d’hésitation :
– tu me plaîs, j’ai envie de faire l’amour avec toi.
Je ne sais plus si j’ai rougi ou bruni ou noirci ..j’ai continué mon chemin sans répondre
– tu as entendu ?
– oui madame
– écoutes..je te trouve beau…je ne suis pas une prostituée…je ne te demande pas d’argent..et je t’en donne pas non plus..
Et de poursuivre..
– Si tu as un moment, tu peux venir avec moi..
– pour aller où, madame ?
– viens, on va aller au casino; elle me prends carrément par la main droite.
– je ne sais pas madame…où ça ?
– pas loin, juste à côté
Je continue de marcher…
– c’est vraiment parce que tu me plais beaucoup
– euh…je ne sais pas..madame
Cette fois-ci, elle prend fermement ma main et sans résister je la suis, comme hypnotisé…
Nous marchons cote à cote sur environ 400 métrés et nous arrivons devant l’entrée du casino de Nice.
– Attends moi ici, je rentre et je te ferais signe d’entrer, d’accord?
– Oui madame
Elle traverse la rue pour entrer dans le casino. Je la suis du regard…un moment elle s’arrêta pour faire la bise au portier et je la perd de vue.
Je suis resté sur le trottoir en me demandant ce qui allait se passer, et où et comment, avec quelques appréhensions.
Au bout de 5 minutes, elle réapparaît , et me fait signe de la rejoindre..
Je traverse la rue et pénètre dans le casino… je la suis ..tournant tantôt à gauche et tantôt à droite, en suivant les méandres des couloirs plus ou moins sombres. Elle me conduit dans une petite pièce.
Je suis un peu inquiet quand elle ferme la porte et tourne le verrou fermement.
La pièce est plutôt exiguë avec une petite fenêtre en hauteur, légèrement entrouverte.
Ce détail attire mon attention et je ne suis vraiment pas tranquille.

Aussitôt, elle se déshabille…des seins opulents jaillissent de nulle part, des gros tétons pointent sous mon nez.
Elle commence par déboutonner et baisser mon pantalon, puis se met à genoux la bouche bien ouverte. J’ai le dos à la fenêtre pour me rassurer …mais contre toute attente, elle me demande de changer de position …on est bien plus exposé à la fenêtre.
Elle me suce longuement avec gourmandise, je commence à m’évader doucement…quand soudain..un ombre vient obscurcir la pièce, déjà faiblement éclairée.
Instinctivement, je jette un coup d’œil furtif à la fenêtre et aperçois la tête d’un homme qui s’est aussitôt retirée de l’encadrement de la fenêtre.
J’interromps la séance de pipe et dis :
– madame, il y a quelqu’un à la fenêtre
– mais non, il n’y a personne mon grand
Je n’ai pourtant pas rêvé, j’ai bien vu une tête..
Elle ne relâche pas ma queue pour autant.
Elle me repositionne devant la fenêtre de nouveau tout en me suçant et me léchant goulûment.
Je me détends à nouveau avec un œil sur la fenêtre..
Et hop !..la tête réapparaît..celle d’un homme grisonnant, au regard vicieux, me faisant signe de la main de continuer mes affaires.
Je signale de nouveau à la dame qu’un homme est à la fenêtre. Visiblement elle est ailleurs, ne répondant même pas.
Elle se lève, se retourne face au mur et enlève sa culotte pour m’offrir son cul, debout et cambré du mieux possible.
Entre la gêne de cet homme sur la fenêtre et le désir de cette chatte humide, le désir a pris le dessus. Que voulez vous j’ai 18 ans et les hormones en folie…
Elle gémit bruyamment et l’homme est à deux doigts de rentrer par la fenêtre, visiblement très excité et incontrôlable.
Je me hâte d’abréger la pénétration et de me vider en elle.
Elle se remet aussitôt à genoux pour sucer à nouveau. Cette fois, l’homme a carrément une jambe dans la pièce.
D’un instinct, je remonte mon pantalon
– c’est bon je dois partir
– reste encore. Ne t’inquiètes pas, il n’est pas dangereux
Je me dirige vers la porte, déverrouille la porte et cherche mon chemin vers la sortie.
J’arrive sur le trottoir d’en face du casino et j’attends haletant . Quelques instants après, la dame réapparaît accompagnée d’un homme ; c’est bien celui que j’ai vu dans la fenêtre.
C’est mon mari!
Dès qu’elle m’aperçoit, elle fait signe à l’homme d’une geste de la main, qui instantanément s’écarte d’elle et rebrousse chemin.
Elle me rejoint sur le trottoir
– mon chéri, pourquoi tu es parti? il fallait rester
– je vous ai vu avec l’homme de la fenêtre, madame
– il n’est pas dangereux, c’est mon mari
– Ah bon !, je me suis étonné
Après quoi, il était temps de chercher un bus pour rentrer chez moi en espérant que mes colocataires soient déjà rentrés.
J’ai passé le reste de la soirée à méditer l’histoire de cette femme inconnue et de son mari à la fenêtre qui aimait regarder sa femme se faire prendre par un autre. Ca alors, quelle découverte ! Quelle aventure!
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