Voici le premier texte de Mr Léon-John ( j’espère qu’il va m’en envoyer d’autres…). Il nous propose une tranche de sa vie très excitante comme je vous laisse le découvrir. Merci de votre confiance.
Les tranches de vie que je relate sont souvent liées à un contexte plus ou moins particulier, qui ont marqué ma mémoire.
En situer le contexte me paraît important pour une meilleure compréhension d’où ce petit lexique : New âge (années 1960/70), Middle Age (1980/90), Old âge (2000), le lieu ou circonstance.
Période Middle Age,
Paris, Saint germain des prés, Café « Les deux magots »
A cette époque, je fréquentais régulièrement les Deux Magots et j’y fis la connaissance d’une joyeuse bande de gais lurons et notamment un libanais grand dragueur. Il avait l’art et la manière d’emballer une femme en quelques instants.
Nous en faisions nos gorges chaudes lors de nos rencontres, et attendions de connaître le verdict de sa rencontre, situé sur l’échelle de Richter.
Un jour, il nous présenta un couple de ses amis libanais. Beau couple, classe, elle, une superbe brune à la plénitude de la quarantaine, lui grand, svelte et charmeur.
Attablé avec elle « Libane » et lui « Liba », nos conversations se déroulaient souvent sur l’attente du verdict, en faisant des paris sur l’échelle de Richter, de notre ami.
La chaleur et le rosé aidant, nous avions des discussions dérivant sur les aspects croustillants de la vie de notre ami.
Au cours d’une de ces discussions, « Libane », me proposa une invitation à dîner chez eux pour le soir même. Que j’acceptais sans sourciller.
Dans un immeuble Haussmannien et par bonne éducation je me présentais à l’heure convenue, avec un bouquet de fleur et une bouteille de champagne.
Introduit par « Liba », il me mena jusqu’au salon dans ce vaste appartement. Il m’indiqua par la même que « Libane » finissait de se préparer et qu’elle serait là dans quelques instants.
Libane » apparue dans une tenue orientale aux voiles évanescents. J’en tombais sous le charme.
Après quelques verres et amuses gueules, la conversation est revenue sur les exploits de notre ami.
Ce qui fit monter l’ambiance, considérablement aidée par les mouvements des voiles, mettant en valeur la sensualité de « Libane ».
Elle s’éclipsa quelques instants.
Liba, me fit part d’une envie qu’ils avaient en commun.
Faire l’amour devant un homme
c’est une envie que nous avons depuis longtemps, ajouta t il.
J’avoue que je restais coi. Mon cerveau en ébullition, je mis plusieurs secondes avant de répondre.
* Why not ! Mais quid de Libane
* Oui, l’idée vient d’elle ; il y a déjà un moment que nous en parlons, et elle a trouvé que ta réserve naturelle et ton feeling lui convenaient.
Devant mon air perplexe, il ajouta :
* Tu peux toujours t’esquiver, et nous en resterons là!
Mes expériences avec des couples, m’ayant laissé de bons souvenirs, je finis par accepter.
Il reprit :
* Comme c’est la 1ère fois que nous tentons cette expérience, nous y mettons une condition.
* Ah, et laquelle ?
* Nous souhaitons que tu sois immobilisé et que tu ne puisses intervenir.
Là, je me mis à cogiter, où cela va-t-il finir ? Me dis-je.
Les sens en éveil et ma curiosité habituelle prirent le dessus:
* j’accepte le jeu.
Il partit à la recherche de son épouse et lui indiqua mon accord tacite.
Je me dis qu’ils avaient muri leur scénario pour être aussi direct dans leur décision.
Quelques instants plus tard, il revint et me demanda de le suivre jusqu’à leur chambre.
Une grande chambre avec un lit kingsize, un mini salon avec deux fauteuils de style Louis XV.
Libane en tenue de danseuse du ventre, me pris par la main et me fit asseoir sur un des fauteuils.
Je compris alors que c’était elle la maîtresse de cérémonie.
Elle me posa un bandeau sur les yeux, et me glissa dans l’oreille :
* Ne t’inquiètes pas nous ne te ferons aucun mal.
Elle entreprit de me lier les poignées aux accoudoirs et les chevilles aux pieds du fauteuil.
Ainsi immobilisé, tous mes sens en éveil, une musique orientale se fit entendre.
Liba, m’indiqua que Libane avait entrepris une danse du ventre, dont j’entendais le frou-frou des pieds sur le sol.
Elle s’approcha de moi et entreprit d’ouvrir les boutons de ma chemise, puis m’abandonna.
* Ce n’est pas juste, je ne vois rien
On m’enleva mon bandeau et il servit alors à me bâillonner, et je ne puis prendre la parole.
Libane repris sa danse du ventre, à tour de rôle, se rapprochant, se frottant sur Liba, puis vers moi.
Dans des gestes sensuels, elle se sépara d’un 1er voile, puis d’un deuxième.
Découvrant ainsi une magnifique poitrine avec un soutien gorge balconnet laissant apparaître ses tétons et auréoles.
Son soutien-gorge recouvert de paillettes brillait de tous feux. Il avait une frange faite de perles et de petits médaillons fins et légers en acier doré qui faisaient des petits « gling-gling » à chaque mouvement.
Elle secoua ses nénés ainsi parés en s’approchant de Liba subjugué. Elle ondulait des hanches et faisait danser ses mains avec sensualité
Mon regard posé sur cette poitrine, fut capté par une main de Liba, venant caresser sa poitrine.
Elle s’approcha de lui, pour répondre à cette demande.
* Ouhhh… chaud, chaud ! Tu vas te frotter contre moi ?
* Nooon… pas encore… laisse-moi danser
* Et si j’enlève mon pull ? J’ai envie que tu viennes faire des petits « clic-clic » sur ma peau.
Liba fait passer son tee-shirt par-dessus la tête et lui tend les bras :
* j’ai envie de te toucher
* je sais ! Lui dit-elle
Elle s’immobilisa quelques secondes en le regardant et hop ! Un petit roulé d’épaule aguicheur, puis se pencha en gardant les jambes bien droites laissant entrevoir la culotte au tissu transparent !
J’en profitais pour apercevoir son pubis fourni
* Ma chérie, danse pour moi !
Excité, il frotta avec insistante son sexe à travers son pantalon.
J’avoue que cela me troublait aussi.
* Tu mérites un encouragement ma chérie, et j’arrive pour t’aider.
* Très bonne idée. Allez, viens te trémousser contre moi avec ta ziiic orientale !
Il enleva son pantalon, se déchaussa et fit valdinguer ses chaussettes
Il la rejoint en riant de bon cœur. Puis il se colla contre Libane et l’embrassa passionnément en soulevant son étole d’une main pour mettre rapidement une jambe entre les siennes et lui permettant d’appuyer sa vulve sur sa cuisse.
* Wouaaaah, ce n’est pas mal du tout! Évoqua t-elle.
Mes yeux se perdaient à suivre leur danse sensuelle.
Enfin ! Il l’attrapa par les hanches et la retourna comme un rien, puis il l’agrippa par sa crinière et la pencha en avant, entreprenant de faire glisser sa culotte.
Apparut, alors un gazon luxuriant, sombre parfaitement taillé à la mode oriental.
Je passais par toutes les couleurs.
* Tu me fascines, Liba chérie ; tu me tentes diablement. Alors, ma petite chatte en chaleur, on va faire les fauves tous les deux et tu vas pouvoir miauler, ronronner et hurler de plaisir.
Se rapprochant du lit, il la fit se pencher en avant, lui écarta les jambes et sa main prit possession de son entrecuisse.
A l’entendre gémir et soupirer d’extase on comprenait que sa petite chatte était comblée.
Puis la cadence s’accélèra, rendant les petits« gling-gling » de son soutien-gorge encore plus sonore, au point de couvrir la musique orientale.
Prise dans un état extrême; elle s’exprima:
* Enfonce-toi maintenant au plus profond de moi !
* Non, tu n’es pas encore au maximum de tes capacités, reprit-il.
* Je me soumets à tes désirs mon chéri;
Liba d’ajouter :
* Ohhh ouiiii… et nous sommes acteurs et nous avons un spectateur.
Leurs regards se tournèrent vers moi, avec insistance. Il est vrai que mon incapacité à me mouvoir, laissait tout le loisir de percevoir mon pantalon très tendu.
* Oh chéri, regarde ce que je vois !
* Oui, je pense que notre ami se laissera bien à venir danser avec toi.
De la tête, j’acquiesçais, insistant du regard sur ce pubis ouvert et dont la luisance du rose laissait comprendre l’excitation de Liba.
* Bien sûr, il me désire aussi : ça, c’est une évidence ; dit-elle.
Il poussa Libane sur le lit, écartant ses jambes, il entreprit un cunnilingus lascif et de plus en plus dévorant.
Toute à ses sensations, il était visible que son plaisir montait, montait crescendo et le feu l’envahissait tout entière, comme la lave qui escalade les parois sans que rien ne puisse la retenir et qui explose.
* Liba… je jouiiiiis ! ; En se tordant en deux dans un magnifique spasme
* Vas-y ma chérie, éclate-toi, profite, je t’aime tellement !
Hors du temps et de l’espace pendant un long moment, elle semblait transportée vers un état de rien du tout…. Alanguie.
Moi-même, j’aurais voulu lui crier également « jouis encore et encore » tellement c’est beau de voir une femme sous l’emprise du plaisir. Tendu à l’extrême, je tentais de me soustraire de mes liens, dans l’espoir de me faire retirer mon bâillon.
Mes yeux allaient de l’un à l’autre dans une supplique…. Sans réponse.
* Humm, regarde Chéri, notre voyeur, c’est bien ça…, notre voyeur à l’air dans un drôle d’état.
Perspicace, dit-elle et ajoutant :
* Non, non et non, tu resteras encore attaché, nous n’en avons pas fini.
Elle se releva, en me regardant dans les yeux, elle vint vers moi pour constater mon état dans une palpation de mon pantalon.
* humm, chéri il semble à point.
M’abandonnant à mon sort, elle repartit vers son homme, et se frottant à lui, elle se baissa à genoux tout en faisant glisser son caleçon. Sa magnifique verge à l’horizontale, laissa apparaître une larme de plaisir, qu’elle s’empressa de lécher avec sensualité.
Indiquant ainsi, une nouvelle envie.
Mon regard pointé sur cette scène, semblait accroître leur désir. Elle entreprit, de sa langue un léchage de bas en haut de son « Ziiic » (comme elle l’avait appelé), qui ne fut pas long à se redresser encore.
Elle entreprit, une fellation torride tout en me regardant droit dans les yeux ; me signifiant ainsi, » tu aimerais bien être à sa place« . «
A voir, l’effet sur son homme, il était certain que cela devait être particulièrement jouissif.
Liba presque au plus haut de son désir, signifia :
* Libane, arrête, s’il te plaît arrête… ou je ne te promets rien……
Instantanément, elle se recula et le laissa dans cet état second qui préfigurait l’orgasme.
Se tournant ver moi ; dans son regard, je perçus une lueur fugitive et un sourire espiègle.
Que j’interprétais en ma faveur; c’était peut être à mon tour de profiter de ses désirs.
Pas décontenancée, elle se releva et dans un élan empli de désir, elle attrapa Liba par le sexe et s’approcha en me regardant dans les yeux, histoire de me dire tu vas voir ce que tu vas voir….
Se penchant vers moi, elle posa ses bras sur mes épaules et le dossier du fauteuil. Elle enfouie sa tête dans le creux de mon épaule et me lécha le lobe de l’oreille.
Vous imaginez, mon état d’excitation, parcouru par des frissons du cou au bas du dos ; mon sexe se tendit un peu plus.
Ecartant les jambes, se cambrant pour mettre en valeur son cul et sa fente dégoulinante ; comme je l’aperçus furtivement, elle incita Liba à la prendre ainsi.
* Oh, chéri prends moi, j’ai trop envie de te sentir en moi ! Oui baise moi avec douceur d’abord.
Ces mots prononcés avec suavité à l’orée de mon oreille, percutaient mon cerveau, sous l’emprise de cette diabolique Libane.
* Oui, belle, tu as vraiment envie que je te prenne comme cela ? Que je te fouille avec mon Ziiiiic, comme tu dis si bien.
* Oui, encore, enfonce toi, jusqu’au fond, j’aime sentir tes couilles sur mon clito. Oui comme cela !
Empruntant alors un rythme lent et profond, il la poussait contre moi et la faisait se frotter contre mon buste, caresser son ventre sur mon pubis, tant elle était courbée. Se frottant au passage à mon sexe tendu dans mon pantalon.
L’excitation la gagna un peu plus et elle me chuchota.
* Tu sens comme il me prend, tu sens comme je suis excitée de te toucher et sentir ton désir exacerbé.
* Humm, humm ; essayai-je d’articuler.
* Chéri, il est vraiment à point, je le sens contre moi.
* Veux tu que j’accélère ?
* Oh, oui, baise moi, baise moi fort de tout ton être, comme j’aime et comme tu aimes.
Tous ces mots s’inscrivant dans les limbes de mon cerveau, ne faisaient que faire monter la pression que nous ressentions réciproquement.
* Oh, chéri, comme c’est bon de te sentir au fond, je ne vais pas tenir encore bien longtemps.
Dans son excitation, un de ses bras abandonna mon épaule, pour venir se ficher dans son entrecuisse. Et par la même, toucher mon pantalon et palper mon sexe en ébullition.
Elle commença à se caresser, entrant ses doigts dans sa fente et se faisant couler sur mon pantalon.
Soudainement, elle entreprit une masturbation rapide, forcenée sur son clito, dont je percevais directement le mouvement sur mon sexe. Comme si elle me branlait.
Liba se pencha un peu plus, prit ses hanches et partit dans un cavalcade de plus en plus rapide, percutant ses fesses avec détermination et profondeur. Coinçant ainsi la main, le pubis de Libane sur mon sexe tendu à l’extrême.
Déclenchant nos orgasmes respectifs.
* Ouiiiii, ouiiii, comme c’est bon, oh jouir, jouiiiiiiir encore et encore. Dirent-ils. Et moi d’ahaner comme un phoque.
Sonné par ce moment hors du commun et en apesanteur, je constatais que j’avais joui dans mon pantalon.
Groggy, il nous fallut plusieurs minutes pour retrouver nos esprits.
Tout en câlinant son chéri, elle me dit :
* Merci pour ce moment, j’en rêvais depuis longtemps.
* Merci mon chéri de m’avoir fait aussi bien jouir et de m’avoir permit de réaliser ce fantasme.
Me plaquant une main sur mon pantalon, elle appuya le tissu sur mon ventre et me fit constater les dégâts tant à l’extérieur qu’à l’intérieur de celui-ci.
Elle dénoua mon bandeau. Elle s’essuya avec et récolta sa liqueur et l’éjaculat de son homme ; et me le mit sous mon nez, afin d’en découvrir les fragrances. Dont je me rassasiais avec délectation.
Enfin détaché, je leur fis part du plaisir que j’avais eu.
Un verre de bulles à la main, nous reprîmes nos esprits en échangeant quelques commentaires plus ou moins osés.
* Alors à quelle échelle de Richter situons nous ce moment ; dirent ils en éclatant de rire ?
* Elle ; J’irai jusqu’à 8,5 tellement vous m’avez envoyé en l’air.
* Lui ; Disons 8, mais ce qui compte le plus c’est ton plaisir ma chérie
* Moi ; 8 également, car je ne m’attendais pas à un tel scénario.
A l’heure de la séparation, elle me dit :
* Ce fut un merveilleux moment que tu nous as permisde vivre, hein chéri, mais il n’y aura pas de suite. Nous sommes ainsi faits, nous ne recommençons jamais deux fois avec le ou la même partenaire de nos plaisirs.
Je les remerciais à mon tour, pour m’avoir permit un tel moment de plaisir ; les laissant à leur intimité. Et rentrais en taxi, pas fier de l’état de mon pantalon.
Léon-John
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