Nouvelle tranche de vie by Léon-John

Voici de nouveau une tranche de vie de Léon-John, qu’il a la gentillesse de partager avec nous. Après Paris, nous le retrouvons sur la Côte d’azur, plus précisément à Antibes. Un joli texte plein de sensualité.

Les tranches de vie que je relate sont souvent liées à un contexte plus ou moins particulier, qui a marqué ma mémoire.  

En situer le contexte me paraît important pour une meilleure compréhension d’où ce petit lexique : New âge (années 1960/70), Middle Age (1980/90), Old âge (2000), le lieu ou circonstance.  

Période Middle Age,  

Vacances en Côte d’Azur, Antibes, le Haut de Cagnes  

Resto chic sur la Côte d’Azur. C’est l’été. La douce chaleur du soir, incite à des rapports sensuels.  

« My Grâce », ma douce, est en beauté. Sa robe à boutons de haut en bas, laisse deviner sa poitrine bronzée ; on découvre la naissance de ses seins sans soutien-gorge. En bas, les derniers boutons non fermés font entrevoir ses cuisses galbées et bronzées à chaque pas. 

Notre arrivée au restaurant chic Le Cagnard ne passe pas inaperçue. Le majordome nous guide vers la table (nappe jusqu’au sol) réservée vers le coin de la longue terrasse avec vue sur la mer et la Riviera.  

Quelques bulles au fond d’un verre nous sont servies pour apaiser la chaleur et nous détendre en attendant les mets. 

Après quelques verres et l’entrée, la sensualité est montée d’un cran. Le bouton du haut s’ouvre, laissant apparaitre la moitié d’un sein.  

Un pied vient caresser ma cheville et remonte un peu sur mon mollet.  

Mon regard se fait alors brillant quand je percute le sien. Une forme de défi se noue. 

 * Ose monter plus haut !   Lui dis-je. 

Une attaque qui fait mouche, mais qui au fond relance le mouvement du reptile vers mes genoux, que je ferme, coinçant ce pied inquisiteur. 

Un relâchement des genoux lorsque le serveur nous sert le plat.  

Une nouvelle attaque directe du reptile vers mon entrecuisse me fait sursauter, ce qui ne passe pas inaperçu à la table d’à côté.  

Que faire après une telle attaque ? Rester sans réagir ou attaquer à mon tour ?  

La meilleure défense étant l’attaque, je quitte ma chaussure et mon pied nu s’aventure vers sa jambe ; commence alors une caresse sensuelle sur ses chevilles, puis remonte le long de ses mollets.  

Ne pouvant à la fois rester la jambe tendue et fermer ses cuisses, « My Grâce » retire sa jambe et essaie d’empêcher la progression de mon pied. 

Je suis vite coincé entre ses genoux.  

*  Ah, ah, qui rira le premier et le dernier ?  L’interpelai-je, en lui tendant mon verre pour un toast. 

La dégustation et ses bulles y aidant font que les genoux se relâchent. J’en profite pour aller de l’avant. Ils se resserrent à nouveau mais j’ai gagné quelques centimètres. 

Nos verres s’entrechoquent dans un échange du regard, où brillent les lueurs des bougies de la table, mais aussi celles du désir. 

Mon pied progresse lentement vers cette chaleur ô combien enivrante.  

Un défi se noue à nouveau en des mots et regards pour le moins sensuels.  

L’ouverture des cuisses se fait par à-coups, comme pour dire oui et non.  

Un premier toucher me fait comprendre qu’elle n’a pas de culotte et me fait entrevoir une humidité qui en dit long sur son état.

La conversation s’arrête et sa bouche laisse percer une langue qui, dans un mouvement sensuel, fait le tour de ses lèvres.  

Comme une invite à en faire de même sur d’autres lèvres. 

Aussitôt l’invitation captée, mon pouce de pied entreprend un toucher desdites lèvres, remonte un tant soit peu vers ce lieu des plaisirs. 

Il en caresse l’effervescence dans un mouvement continu dont on voit bien que les effets se font sentir.

« My Grâce » aux abois ; se laisse aller en arrière sur le dossier de la chaise pour faire avancer son pubis dégoulinant et pour un meilleur toucher. 

Un verre à la main, elle savoure quelques bulles pour se donner un peu de répit et une contenance en évitant ainsi de laisser échapper des soupirs annonciateurs.  

Voyant cela, je ne relâche pas la pression ; au contraire, j’enfonce le pouce et porte l’estocade.  

Alors un hoquet spécieux fait sursauter « My Grâce » et quelques têtes aux alentours se retournent !

Une détente prend place, nous permettant d’attaquer le dessert.  

« My Grâce » saisit la fraise de son gâteau, fait mine de la regarder, la fait disparaître sous la nappe vers ce lieu des plaisirs ; je suppose.  

Je n’en crois pas mes yeux. Elle la ressort et me la tend, humectée de son nectar, la dépose sur mes lèvres…je la savour avec gourmandise. 

Cette sensualité ne fait qu’exciter un peu plus nos sens et inutile de vous dire mon état.

N’y tenant plus, « My Grâce » m’incite à partir vers les toilettes ;

*  excitant, oui,… mais vraiment très risqué. lui dis-je.

Nous décidons de quitter le restaurant. Au début, sa démarche est un peu gauche et l’assurant de mon bras, je lui glisse dans l’oreille :

*  je crois que tu ne laisses pas insensible quelques beaux gosses et provoques des rictus chez leur compagne.

Dehors, nous nous enlaçons dans un baiser fougueux qui ne fait que décupler nos envies. Avançant dans la ruelle peu éclairée, nous nous retrouvons à un angle de rue et d’une porte cochère encore plus sombre.  

« My Grâce » ne pouvant attendre, s’y plaque et me tire par la ceinture, ouvre ma braguette, sort mon membre, écarte sa robe en la remontant et m’attire en elle.  

Dans un enlacement sensuel nous haletons de concert jusqu’à l’apothéose du plaisir commun, indifférents aux passants à quelques pas.  

Quelques temps de caresses et baisers pour savourer ce moment fort, puis nous reprenons le chemin de la voiture. 

À peine assis, nous nous enlaçons dans un jeu de langues excitant.  

En route, nous reparlons avec délectation de ces deux moments de folie.  

« My Grâce », affalée dans son siège, se laisse aller et met ses pieds sur le tableau de bord ; par sa robe ouverte, écartant les cuisses, elle expose son pubis à la vue des passants et voitures aux feux rouges.  

Tout en conduisant, cela ne manque pas de toucher mon côté voyeur, d’autant que son sexe laisse échapper quelques réminiscences de notre accouplement.  

Ses doigts en recueillent les sucs, les portent à sa bouche avec un râle de plaisir.  

Elle recommence à nouveau son recueil de sucs et les porte à ma bouche que je déguste avec délectation et satisfaction, ce qui réveille de nouvelles envies.  

Ne résistant pas, je prends un chemin de traverse pour m’arrêter à l’orée d’une plantation d’oliviers éclairée par la lune, où une caravane abandonnée stationne. 

Pris de frénésie, nous sortons de la voiture.  

« My Grâce » d’un geste rapide, envoie sa robe à terre. Nue, elle se penche en arrière sur le capot et m’invite à la prendre avec fougue, ce que nous n’avions pu faire dans la ruelle.  

Nous baisons comme des assoiffés avec moult râles et soupirs de plaisir quand nous entendons un bruit en provenance de la caravane.  

« My Grâce » dans le feu de l’action, me dit  

*  N’arrête pas, n’arrête paaas… », visiblement encore plus excitée.  

Surpris par cette invite, je me laisse aller à des mouvements plus profonds et plus amples, à notre grande satisfaction, sous les regards d’un voyeur derrière sa vitre.  

Nous explosons dans un univers d’étoiles jouissives.  

Le temps de reprendre souffle et de retourner à la voiture, notre voyeur lève le pouce.

Ébranlés par ces plaisirs, nous avons du mal à reprendre la route. 

C’est avec douceur que nous terminons cette soirée. 

Le lendemain, la matinée est plus laborieuse, tant la jouissance nous avait écrasé.  

La journée occupée par les enfants, nous ruminons chacun dans nos têtes.  

Ce n’est que le soir que nous revenons sur ces moments forts.  

« MY Grâce » met en exergue les moments où elle a joui :  

–  la branlette de son bouton par mon pied et la réaction qu’elle n’a pu contenir,

–  celle où elle s’est découverte excitée sous le regard du voyeur.  

Sa façon de relater ces moments lui fait comprendre que cela participait à son excitation.

J’en profite pour lui suggérer de refaire quelques nouvelles tentatives dans ce sens-là. 

*  Salaud, et toi…. » Me rétorque-t-elle.  

Je lui rétorque que j’ai pris du plaisir à la voir jouir ainsi en présence d’autres personnes.  

*  Humm, toi aussi tu aimes cela ! » Me dit-elle.  

J’en conviens sans restriction et lui dis : je vais y réfléchir. 

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