Ode à votre queue

Il est tôt. Réveillée. Je vous entends respirer à côté de moi. Je vous distingue dans la semi-obscurité, un beau félin au repos. Je me glisse sous le drap. Votre queue repose sur votre cuisse, vulnérable, à la merci de ma bouche, de mes lèvres, de ma langue. Je me souviens d’elle quelques heures avant : puissante, aventurière, espiègle, endurante, fougueuse. Là elle est tout simplement endormie, elle dégage une odeur enivrante, le mélange de nos fluides, ma bouche est irrémédiablement attirée vers elle. Je l’y glisse délicatement, elle est douce, je la savoure, entièrement dans ma bouche. Elle commence à prendre vie, le sang commence à affluer. Du plat de ma langue je lèche délicatement vos testicules. Vous êtes dans un demi-sommeil. Je la prends dans ma main, je bave sur elle, je la branle doucement, je caresse le bout de votre gland, ma langue prend le relai. Là elle est réveillée, sa chaleur attise mes sens, je me trémousse, je serre les cuisses, je mouille. J’ai envie de me caresser mais je suis toute à votre queue. Votre queue m’excite et tout mon corps s’embrase. Je vous branle doucement, je vous lèche avec application. Je veux vous faire jouir et cette idée me déchaîne. Je vous pompe littéralement, je m’enfonce votre grosse et jolie queue au fond de la gorge. Je bave sur elle, elle glisse, coulisse parfaitement dans ma bouche. Je l’enfonce jusqu’à l’étouffement tellement elle m’excite, tellement je veux qu’elle me remplisse, autant que lorsqu’elle me remplit le cul. Je la pompe encore et encore, je veux votre semence à tout prix. C’est ça que je veux. Alors d’une main je la branle activement et de l’autre je caresse votre gland. Ma bouche est là également posée, baveuse, ma langue, agaçante. Je veux tout prendre de vous. Je branle, je suce, je branle, je suce, vous êtes totalement réveillé, vous gémissez, mes doigts pincent vos tétons, vous ne résistez pas et vous déchargez sur mes seins. Vous êtes animé de spasme. Je reprends en bouche votre queue, abandonnée à mes lèvres, mes baisers. Puis je me blottis dans vos bras reconnaissante telle une chatte que l’on aurait nourri de lait.
Bonjour !

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