J’entre. Je porte une jupe étroite, un chemisier, des talons, des bas. Un plateau de jeu, 2 dés. Un premier lancé pour déterminer le nombre de partie. Ce soir vous avez décidé d’être sévère car parfois il n’y a qu’un seul dé. La somme des dés indique 10. La punition va être lourde, je frémis. Je me dirige dans le salon, j’enlève mon chemisier qui laisse apparaître mes seins nus, je me mets à 4 pattes sur ce grand pouf, je remonte ma jupe sur mes hanches et je vous offre ainsi ma croupe. Le fouet est posé à côté de moi. Je le caresse des yeux, puis de la main et je le glisse entre mes dents et je vous attends, vous espère…. Mes cuisses sont largement écartées, ma chatte offerte. Je vous sens vous approcher, votre main caresse mes fesses, glisse sur ma fente, mon clitoris, agace le rosebud en place, j’ondule pour vous faire comprendre que j’ai envie de vos doigts, en moi, je gémis mais une fessée me rappelle à l’ordre. Votre main sur mes fesses, mon dos, mes épaules, autour de mon cou. Vos murmures « bonjour ma salope, je vais vous dresser, vous êtes à moi, qui êtes- vous? » votre bouche contre la mienne, votre langue qui caresse mes lèvres, qui s’enroule autour de la mienne. Le collier que vous sortez de votre poche, ma tête qui s’incline, la douceur du cuir autour de mon cou. Je suis totalement, entièrement à vous le temps de cette partie. Vous caressez un sein, en agacez la pointe, vous la tordez, la pincez, je gémis puis une longue plainte sors de ma gorge lorsque vous fixez la pince à laquelle est reliée une fine chaîne et un poids qui tire mon téton. L’autre sein subit la même contrainte. Douleur/plaisir, chaleur entre mes cuisses, mon clitoris est gonflé et à envie de la pression de votre doigt sur lui. Vous le savez et vous l’agacez pour le laisser sur sa faim. Vous posez le plateau de jeu à côté de moi et me demandez de ne lancer qu’un seul dé pour commencer. Le 4 s’affiche. Vous m’enlevez le fouet serré entre mes dents. La partie va commencer.
Prémices d’une partie
